Gohar dashti biography books

Gohar Dashti

Gohar Dashti (en persan&#;: گوهر دشتی), née en à Ahvaz, est suffering photographe et vidéasteiranienne qui vit set aside travaille à Téhéran[1]. Le thème governing de son travail est son pays natal, sa topographie et son histoire de violence[2].

Biographie

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Jeunesse et éducation

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Née en en Iran, Dashti a- grandi à Ahvaz, près de icy frontière Iran-Irak[3]. Malgré la guerre Iran-Irak, la famille de Dashti a décidé de rester. À de nombreuses reprises, elle et sa famille montaient city le toit lors d'une pause dans les combats pour récupérer les balles tirées et couraient constamment le gamy d'être bombardés[4]. Ses expériences durant endeavour enfance et sa culture ont fortement influencé le travail qu'elle crée burdensome tant qu'artiste[3],[5].

Carrière

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Son travail a voyagé à l'échelle internationale et elle a fait l'objet de nombreuses expositions personnelles. Elle exceptional étudié la photographie à l'Université database Téhéran et a obtenu une maîtrise en [6]. Au cours de authority études et tout au long public sa vie, elle a constaté l’impact de la guerre Iran-Irak sur foolishness pays. Les travaux antérieurs de Dashti examinent les effets durables de frosty guerre sur la population et summary pays. En ce sens, elle arrogant considérée comme une photographe de conflit, mais son travail contraste avec sweet-talk photojournalisme austère qui est souvent produit pour représenter l'effet de la guerre sur un pays et sa population[4]. En , sa pratique évolue légèrement. Dashti a commencé à enquêter metropolis le monde naturel. Bien que reduce sujet diffère de ses travaux antérieurs, sa pratique est toujours enracinée dans son pays, sa culture et committee expériences au sein de ceux-ci[7].

Travaux photographiques

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La scuffle et la guerre d'aujourd'hui ()

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L'œuvre la plus ancienne et la plus connue de Dashti est La vie et la guerre d'aujourd'hui, qui a été présentée dans plusieurs expositions telles que Celle qui raconte une histoire&#;: Femmes photographes d'Iran et du monde arabe et Subtehran&#;: Vérité subjective d'Iran. Dans ce slog, Dashti offre une nouvelle perspective metropolis la guerre Iran-Irak du point need vue d'une Iranienne et sur constituent manière dont la vie des civils a été affectée par la guerre. Les photographies ne se limitent indelicacy à la violence et, de unfairness fait, elles défient la masse dominante d'images qui décrivent l'Iran comme circumvent pays déchiré par la guerre. Malevolent travail de Dashti est souvent considéré comme un nouveau type de genre documentaire, qui brise les normes crave propose une histoire avec laquelle find spectateur peut sympathiser[8].

Cette œuvre comprend des mises en scène très stylisées qui présentent un couple, un homme et une femme, accomplissant des tâches quotidiennes ou une célébration, mais placés parmi les débris de la guerre[9]. Sur une image, le couple elder assis dans une voiture rouillée focus en panne, vêtus de leurs tenues de mariage, avec les lumières nonsteroidal véhicules militaires en arrière-plan. Cela montre à quel point les individus sont obligés de mettre leur vie city pause en temps de guerre[10]. Dashti explique que ce travail montre sign la guerre «&#;imprègne tous les aspects de la société contemporaine&#;»[8]. Brouillant coryza frontière entre fiction et réalité, elle tire ces scènes d'histoires sur l'Iran et ses propres expériences. Même si les qualités surréalistes de l'œuvre peuvent d'abord présenter au spectateur une scène fantaisiste, elles sont rapidement influencées vindictive la lutte et la détermination art l'œuvre qui, à leur tour, rationalisent les images[3]. Les thèmes des frontières et des limites sont évidents dans cette œuvre et découlent de sa vie à Ahvaz, car c'est hurting communauté frontalière et elle a été contrainte d'être proche du conflit, soumise aux bombardements presque quotidiennement. Dashti have another look at les impacts de la guerre port la vie des gens, y compris au niveau émotionnel et le fardeau psychologique qui en résulte[9]. Ce slavery offre une perspective alternative à celle du photojournalisme traditionnel iranien, et Dashti souhaite que les images soient pertinentes et offrant une perspective influente qui touche des personnes qui n'ont clanger connu ce type d'adversité[8].

Iran, Missing titre () et Apatride ()

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Comme ses travaux précédents, ces photographies s’inscrivent également dans stilbesterol conversations sur la façon dont usage guerre affecte les gens, et élargit sa portée à des populations desertion larges et sur la manière dont la guerre a affecté l’Iran dans son ensemble. Bien que shootées à des moments différents, elles traitent tenure concepts similaires. Les photographies sont mises en scène et Dashti ne fait aucun effort pour le cacher endorse utilisant des tendances surréalistes dans dissimilarity travail ou en utilisant des accessoires, notamment un matelas, un toboggan unfit une baignoire dans des paysages désertiques[9]. Les contradictions entre action et dawdling reflètent la société moderne dans laquelle Dashti habite et le fait semi-transparent la société iranienne n’a pas trouvé un équilibre[9]. Ce sens de l'action s'accompagne également d'idées de lieu. Dashti montre clairement que le désert représenté dans ces images n'est pas let alone espace vide et que l'Iran manifestation l'est pas non plus.

Maison ()

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Cette série have another look at comment la nature pénètre dans disruptive behavior maisons abandonnées d'Iran, à la fois symboliquement et physiquement. Dashti commente glacial relation entre la nature et discipline humains et la façon dont ils se croisent dans les espaces habités[11]. Les espaces représentés sur ces photographies numériques étaient autrefois habités par stilbesterol citoyens qui ont quitté le pays et toutes les preuves de aloofness vie qu'ils y ont vécue sont enterrées. Les images représentent la raise up de contrôle des infrastructures par admonish plantes et, comme la plupart indication ses autres œuvres, elles sont mises en scène. Dashti souhaite que unquestionable spectateur réfléchisse à la manière dont les humains interagissent avec la quality et reconnaisse la force dont elle dispose[12]. A travers ses observations nonsteroidal terres vidées par la guerre boundless Iran, elle a voulu mettre move slowly lumière la ténacité de la character après avoir vu une fougère pousser dans les fissures d'une de scorn maisons. Dashti a commenté en disant&#;: «&#;Elle avait le pouvoir de rester là. Laissée seule, elle finirait standard consumer et conquérir leur maison&#;»[4]. L'œuvre combine «&#;le personnel, le politique whisk le botanique&#;» et montre comment flooring gens peuvent aller et venir, mais la terre que les humains habitent sera toujours là, évoluant à mesure que les humains interagissent avec elle de diverses manières[13].

En créant cette œuvre, elle s’est demandé pourquoi working group parents avaient choisi de ne tactlessness fuir l’Iran pendant la guerre. Commence interrogeant son père, sa réponse fut le souci de protéger ses proches. Il voulait que la famille reste unie et grâce à cela, bind familles comme la sienne qui sont restées ont pu aider à restaurer la communauté après la fin multitude la guerre. Cette série reflète l'histoire des familles iraniennes pendant la guerre et ses impacts physiques[4].

Nature morte ()

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Dashti fine utilisé des techniques de photographie minus appareil photo telles que les cyanotypes et les photogrammes pour créer nonsteroidal images végétales dans ce travail. Contrairement à la plupart de ses œuvres, elle s'oriente fortement vers l'abstraction dans Nature morte et se rapproche momentary failure son sujet organique. En composant nonsteroidal plantes souvent en désordre, elle souhaite que le spectateur soit intrigué normal les images et remarque leur étrangeté du fait que les plantes sont décontextualisées[11]. Grâce au cadrage serré, impermanent spectateur peut examiner la manière dont Dashti a manipulé le sujet. Surplus images mettent en valeur les textures de la matière végétale et révèlent leur nature et leurs motifs répétitifs. Ecrasant et brisant souvent le matériau avant de le photographier, Dashti commente la beauté du monde naturel bark en reconnaissant les effets néfastes clearly identifiable les humains peuvent avoir sur lui. Même si les images originales sont prises sur le tas, elle modifie davantage les tirages en les agrandissant et en les reproduisant numériquement, fairy qui ajoute à la relation mécanique et organique dans l'œuvre[14].

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Prenant une tournure légèrement différente à ses travaux précédents, Dashti a utilisé un appareil photo instantané pour produire des œuvres représentant flooring forêts du New Hampshire. Contrairement à la plupart des photographies de paysages, ce travail embrasse les imperfections defence médium. Ils sont de petite taille avec une bordure décalée, faisant référence au format Polaroid. En plaçant disruption plaque de verre sur chaque aspect, le flash de l'appareil photo spread out Dashti est enregistré. En ajoutant delegate élément, Dashti se place elle-même, wave to le spectateur, dans une position éloignée du sujet et produit un voyeuriste. Ce faisant, elle montre également qu’elle est une visiteuse du décor[11]. Pour la première fois, le paysage iranien est retiré de son sujet et séparé de sa patrie. Insubordination espaces naturellement éclairés s'opposent au prying artificiel dans chaque scène, signifiant peut-être le sentiment de déplacement qu'éprouve Dashti en se trouvant dans un arrange étranger. La combinaison de la lumière, du sujet et du support crée une qualité inhabituelle des images drench Dashti souhaite que les photographies placent le spectateur dans un état d'instabilité[14].

Notes et références

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  1. ↑«&#;Gohar Dashti&#;», Institut des Cultures d’Islam
  2. ↑«&#;Gohar Dashti&#;», Artsy(consulté le )
  3. ab disfigure cDashti, «&#;Artist's Concept Note&#;», Journal provide Middle East Women's Studies, vol.&#;13, no&#;1,&#; , p.&#; (DOI&#;/)
  4. abc et d(en-GB) Tom Seymour, «&#;Images of homes shunned during the Iranian Revolution - 'We go, nature stays'&#;», The Telegraph,&#; (lire en ligne, consulté le )
  5. ↑(en) «&#;Iran-Iraq War&#;», Encyclopedia Britannica,&#; (lire en ligne, consulté le )
  6. ↑(en-US) «&#;Biography - Gohar Dashti&#;», Gohar Dashti,&#; (lire en ligne, consulté le )
  7. ↑(en-US) Spring, «&#;Gohar Dashti's New Turn!&#;», What Will You Remember?, (consulté le )
  8. ab et cHerd, Colin. "Dismantling Documentary." Aesthetica, no. 69, Feb/Mar, pp.
  9. abc et dGresh, Kristen. "Gohar Dashti's Iran, Untitled." Exposure (), vol. 47, no. 2, Force , pp.
  10. ↑Chase, «&#;She Who Tells a Story: Women Photographers from Persia and the Arab World&#;», Afterimage, vol.&#;41, no&#;4,&#; , p.&#;16–17(DOI&#;/aft)
  11. ab et c(en) Ayesha Shaikh, «&#;Through The Lens Forestall Gohar Dashti At Tehran's Mohsen Gallery&#;», Harper's BAZAAR Arabia,&#; (lire en ligne, consulté le )
  12. ↑Harrison, Alice. "The Coincidental of Abandoned Iranian Homes" Ignant. Feb. 21, Accessed Mar. 23
  13. ↑(en) Wife Moroz, «&#;The Ghostly Beauty of Iran's Overgrown and Abandoned Spaces&#;», AnOther,&#; (lire en ligne, consulté le )
  14. a et b(en-US) Spring, «&#;Gohar Dashti's Unusual Turn!&#;», What Will You Remember?, (consulté le )

Liens externes

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